mardi 13 octobre 2009

La soif. Avoir soif. J'ai soif. Soif de vérité. Soif d'incompréhension. Soif de connaissances. Soif d'en apprendre, plus, toujours plus. Soif de savoir. Soif de savoir dire pourquoi. Soif de pouvoir dire pourquoi. Soif de pouvoir répondre, de pouvoir parler, entre-bailler les lèvres d'une bouche trop souvent close. J'ai soif. Lust. Lust. Lust.

Perfection

dimanche 6 septembre 2009

Suicide is painless


Cela faisait combien de temps maintenant ? Un an peut être ? Voir moins... Je ne sais pas, j'ai réussi à retrouver ce mot de passe pour une chose : j'avais juste envi d'écrire ici. Pourquoi ? Parceque (tiens ce mot n'existe pas dans la langue française ? Enfin dans le dictionnaire apparemment...) j'avais tout simplement envi de parler. C'est l'unique endroit où je peux dire les différentes choses qui me passent par la tête, sans aucun tabou, en sachant pertinemment que peu de monde liront ce qui se trouve ici, du moins si, j'en ferai une légère pub. Enfin je ne suis pas revenu pour ne rien dire (du moins...). J'écoute Lady & Bird. Walk Real Slow et Suicide Is Painless (une superbe reprise de la B.O de M.A.S.H). Cette Karen Ann a tout de même une voix superbement cristalline. Elle est française et son accent est irréprochable, c'est hallucinant. Quand au leader de Bang Gang, Bardi Johannson, c'est du grand art. Il n'y a qu'à écouter Inside de son Something Wrong, fameux. Bref, vous l'aurez compris, le temps est à la dépression (et cette magnifique pluie ruisselante n'arrange rien). Mais ce n'est pas pour autant qu'il faut se laisser abattre bien au contraire. Chanceux que nous sommes. Tiens... Plus d'idée. Je me fais peur. Je n'ai donc plus rien à dire ? Je me pers les mots. J'avoue que là je ne sais pas, ou, plus. J'ai une fâcheuse tendance à rajouter des virgules, souvent même. Comptons. 13 virgules pour quelques lignes. Bon, tout compte fait, ce n'est pas énorme. Vous voyez, quand je ne sais plus quoi dire, je parle. Je parle, j'écris. Je peux continuer encore et encore, sans jamais me fatiguer, comme tout le monde. Chose intéressante : je ne suis pas fatigué justement. Et vous ?

lundi 4 mai 2009

dimanche 15 mars 2009

Spring come




Pictures by Marion B, arranged by me






vendredi 13 février 2009

Gather 'round, will you gather 'round? Will you gather 'round? Oh, c'mon flash all my ladies, she was into having babies, she was into liking men and I think I can tell she wants to do it again. She wanna dress like the others but a budget is a budget so she can't budge. You can catch her 'round the back... Children having children in the back of her flat, now her fingers smell like cigerettes. The rude boy like to call her a sket but I fee-fi-fo with my little thumb, I don't think she's all that dumb. She's shooting shit but I love her. Don't get no candy for free, so I look at her and say... Oh, c'mon flash all my ladies. She was into having babies, I know she was into liking men, thats why I hoped she wants, she's gotta do it again. She goes to Uni for free and I don't know what she studies, man, fuck knows what she plans to be. But she share a house and spilt bills; I'm losing my power. The hot water and that for the shower. Tell me, why you wanna run away? Sweet sweat on a Summer's day. Go see the doctor for a cure I'm sure he'll help you out, amour... Well it goes 1, 2, 3 she gets it all for free. A pretty face, a pretty gaze, flashy ladies. Y'know 1,2, 3 she gets it all for free. A pretty face, a pretty gaze, for a flashy lady. Well it goes 1, 2, 3 she gets it all for free. A pretty face, a pretty gaze, flashy ladies. You heard me 1 2 3 all for freeA pretty face, a pretty gaze.. 1, 2, 3 she gets it all for free. A pretty face, a pretty gaze, flashy ladies. You heard me 1, 2, 3 all for free. A pretty face, a pretty gaze, flashy ladies. You know her 1, 2, 3 all for freea pretty face, a pretty gaze, flashy ladies.You know her 1, 2, 3 all for free. A pretty face, a pretty gaze, for a flashy lady.

vendredi 23 janvier 2009

Vendredi soir... Je me remets à écrire quelque chose sur ce blog... Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas rédigé un texte ici. Je n'ais pas spécialement d'inspiration pour ce soir, j'écris, c'est tout. Je ne pense pas vraiment à une chose particulière, j'écris, c'est tout. Je ne cherche pas à créer quelque chose qui ait du sens, j'écris, c'est tout. J'écris, c'est tout. Ou plutot je tape tranquillement sur chaque petits carrés que parsèment cette grande plaque plate, noire. Je laisse défiler, comme toujours, la même musique, les mêmes écris complexes, claquants, durs, noirs, que sont ceux des Kills. Je parle, sans m'arrêter, au grès de leurs voix. C'est parfait. Purement parfait. Je connais pas le pourquoi du comment. Une musique si parfaite oui. Un effet irresistible sur le corp humain. Irresistible. Pourquoi dois-je toujours faire un rapport avec un art comme celui-ci? J'aimerai bien vous répondre... Ce n'est pas de ma faute. Bonheur, tristesse, chagrin... Et une musique. Les artistes peuvent faire passer, et ce n'est pas une bétise mais bien une réalité, quelque chose de fort, une sorte d'énergie, à telle ou telle personne, juste en jouant. Sur scène, l'émotion est plus forte. On ne joue pas pour soi mais toujours pour les autres. Et ça, les Kills l'ont bien compris.

mercredi 21 janvier 2009

mardi 20 janvier 2009

There is a house in New Orleans, they call the rising sun. And it's been the ruin of many a poor Boy, and God I know, I'm one. My mother was a tailor, Sewed my new blue jeans. My father was a gamblin' man. Down in New Orleans. Now the only thing a gambler needs is a suitcase and a trunk. And the only time he'll be satisfied is when he's on a drunk. Oh mother, tell your children, not to do what I have done. Spend your lives in sin and misery in the house of the Rising Sun. Well I've got one foot on the platform the other foot on the train I'm going back to New Orleans to wear that ball and chain well there is a house in New Orleans, they call the Rising Sun. And it's been the ruin of many a poor boy And God, I know, I'm one.

samedi 10 janvier 2009