vendredi 23 janvier 2009

Vendredi soir... Je me remets à écrire quelque chose sur ce blog... Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas rédigé un texte ici. Je n'ais pas spécialement d'inspiration pour ce soir, j'écris, c'est tout. Je ne pense pas vraiment à une chose particulière, j'écris, c'est tout. Je ne cherche pas à créer quelque chose qui ait du sens, j'écris, c'est tout. J'écris, c'est tout. Ou plutot je tape tranquillement sur chaque petits carrés que parsèment cette grande plaque plate, noire. Je laisse défiler, comme toujours, la même musique, les mêmes écris complexes, claquants, durs, noirs, que sont ceux des Kills. Je parle, sans m'arrêter, au grès de leurs voix. C'est parfait. Purement parfait. Je connais pas le pourquoi du comment. Une musique si parfaite oui. Un effet irresistible sur le corp humain. Irresistible. Pourquoi dois-je toujours faire un rapport avec un art comme celui-ci? J'aimerai bien vous répondre... Ce n'est pas de ma faute. Bonheur, tristesse, chagrin... Et une musique. Les artistes peuvent faire passer, et ce n'est pas une bétise mais bien une réalité, quelque chose de fort, une sorte d'énergie, à telle ou telle personne, juste en jouant. Sur scène, l'émotion est plus forte. On ne joue pas pour soi mais toujours pour les autres. Et ça, les Kills l'ont bien compris.

mercredi 21 janvier 2009

mardi 20 janvier 2009

There is a house in New Orleans, they call the rising sun. And it's been the ruin of many a poor Boy, and God I know, I'm one. My mother was a tailor, Sewed my new blue jeans. My father was a gamblin' man. Down in New Orleans. Now the only thing a gambler needs is a suitcase and a trunk. And the only time he'll be satisfied is when he's on a drunk. Oh mother, tell your children, not to do what I have done. Spend your lives in sin and misery in the house of the Rising Sun. Well I've got one foot on the platform the other foot on the train I'm going back to New Orleans to wear that ball and chain well there is a house in New Orleans, they call the Rising Sun. And it's been the ruin of many a poor boy And God, I know, I'm one.

samedi 10 janvier 2009